Quand il a vu que je prenais du poids,
Mon papa a eu pitié de moi.
Il m’a prêté son vélo,
Pour que je perde des kilos.
Je vais pouvoir aller rouler,
C’est « Lô » qui est enchantée.
Hier, aujourd'hui, demain. Ici et ailleurs. Des fragments de vie, du monde, de mon monde.
mercredi, avril 26, 2006
lundi, avril 24, 2006
Bien rentré en Belgique
Il fait beau et presque chaud. C’est absolument fantastique. Dimanche, Laurence et moi nous sommes allé nous promener avec la MG du côté de Rochefort.
Après une marche plutôt agréable de quinze kilomètres, nous avons dégusté quelques bières Rochefortoises (sûrement les meilleures avec les Orval).
La journée s’est terminée avec un barbecue au bord de l’eau : le premier de l’année. Le vin mis au frais dans la rivière, nous avons dégusté plein de bonnes choses jusqu’à ce que le soleil se couche. On se sent revivre !
Petite illustration…
Après une marche plutôt agréable de quinze kilomètres, nous avons dégusté quelques bières Rochefortoises (sûrement les meilleures avec les Orval).
La journée s’est terminée avec un barbecue au bord de l’eau : le premier de l’année. Le vin mis au frais dans la rivière, nous avons dégusté plein de bonnes choses jusqu’à ce que le soleil se couche. On se sent revivre !
Petite illustration…
mercredi, avril 19, 2006
Re-bredouille.
23h00. Il ne pleut plus. Profitant de cet extraordinaire cadeau de ciel, je me précipite sur mon matériel photographique qui attendait paresseusement dans le second fauteil de la chambre. Comme ça, quand je m’ennuie, je peux toujours parler avec. Point de contradiction, il est toujours d’accord.
J’embarque tout : appareil, trépied, objectifs, flash... Je suis super motivé pour aller de belles photos de nuit. Yeah !
À peine suis-je dehors, je déchante. Quand ils annoncent six degrés, c’est sans compter sur l’horrible vent qui souffle tout sur son passage. Il s’insinue partout, et me glace.
Arrivé au bout de la rue, je renonce. Décidément, ce n’est vraiment pas agréable de se promener avec un temps pareil lorsqu’on n’est pas équipé. Je n’ai déjà presque plus de sensibilité dans mes doigts, et mon trépied est encore plus glacé que tout le reste. Normalement il devrait faire dans les quinze degrés à cette période. Je fais quand même UNE photo, juste pour dire que je n’ai pas perdu mon temps.
En rentrant, je fais part à un membre du personnel de mon désappointement. Il se sent obligé de me dire qu’il s’agit bien là de circonstances inhabituelles. Oui, c’est ce que dis aussi à nos touristes qui rouspètent sur le miséricordieux temps Belge. Il faut bien garder la face !
Voilà l’unique rescapée de ce soir… Sur cette photographie de nuit (vous l’aurez remarqué), on peut apercevoir droit devant, mon hôtel, et sur la gauche, un bâtiment qui se dessine en arc de cercle (le « COEX »). C’est dans cet endroit précis que je vais commettre mon exposé demain.
Cette ville me porte la poisse.
J’embarque tout : appareil, trépied, objectifs, flash... Je suis super motivé pour aller de belles photos de nuit. Yeah !
À peine suis-je dehors, je déchante. Quand ils annoncent six degrés, c’est sans compter sur l’horrible vent qui souffle tout sur son passage. Il s’insinue partout, et me glace.
Arrivé au bout de la rue, je renonce. Décidément, ce n’est vraiment pas agréable de se promener avec un temps pareil lorsqu’on n’est pas équipé. Je n’ai déjà presque plus de sensibilité dans mes doigts, et mon trépied est encore plus glacé que tout le reste. Normalement il devrait faire dans les quinze degrés à cette période. Je fais quand même UNE photo, juste pour dire que je n’ai pas perdu mon temps.
En rentrant, je fais part à un membre du personnel de mon désappointement. Il se sent obligé de me dire qu’il s’agit bien là de circonstances inhabituelles. Oui, c’est ce que dis aussi à nos touristes qui rouspètent sur le miséricordieux temps Belge. Il faut bien garder la face !
Voilà l’unique rescapée de ce soir… Sur cette photographie de nuit (vous l’aurez remarqué), on peut apercevoir droit devant, mon hôtel, et sur la gauche, un bâtiment qui se dessine en arc de cercle (le « COEX »). C’est dans cet endroit précis que je vais commettre mon exposé demain.
Cette ville me porte la poisse.
Chasseurs de Têtes.
Je viens d’en avoir un en ligne, alors que j’étais confortablement installé à regarder la pluie tomber. Pas de chance pour lui, j’étais déjà mal disposé pour commencer.
On me propose une position « senior » et « très intéressante » (encore heureux !) ou il faut allier le côté technique et le sens du contact, pour l’Europe, l’Afrique et le Moyen Orient. Entre nous, je préférerais couvrir l’Asie ou l’Amérique Latine.
Mais surtout, je n’ai vraiment aucune raison de quitter ma boite où je m’amuse comme un fou. Tant pis pour le « high salary » qui allait avec, et sur lequel je n’ai pas eu de détails.
Tout cela m’a bien ouvert l’appétit.
On me propose une position « senior » et « très intéressante » (encore heureux !) ou il faut allier le côté technique et le sens du contact, pour l’Europe, l’Afrique et le Moyen Orient. Entre nous, je préférerais couvrir l’Asie ou l’Amérique Latine.
Mais surtout, je n’ai vraiment aucune raison de quitter ma boite où je m’amuse comme un fou. Tant pis pour le « high salary » qui allait avec, et sur lequel je n’ai pas eu de détails.
Tout cela m’a bien ouvert l’appétit.
Toujours la flotte...
C'est morne et monotone, la pluie, surtout dans une grande ville. Ca fait sale (voir photo). Le dernier bulletin météo dit "Light Rain, 8˚C (feels like 6˚)".
Bonne nouvelle: j'avance bien dans mes emails, mais j'ai une faim de loup. Va falloir penser à se nourrir!
Ca, c'est ce que je vois de ma chambre, au 25e étage: c'est déprimant!
Bonne nouvelle: j'avance bien dans mes emails, mais j'ai une faim de loup. Va falloir penser à se nourrir!
Ca, c'est ce que je vois de ma chambre, au 25e étage: c'est déprimant!
Singing in the rain…
Le plan aujourd’hui, c’était un « safari-photo » de Séoul. Quelque chose de sympa, qui changerait des classiques photos de temples. Des photos sociales. Des photos de la vie. Des gens.
Le problème c’est que c’est la grosse pluie depuis ce matin, et apparemment, aucune amélioration à prévoir pour le reste de la journée.
C’est l’occasion de travailler…
Demain, j’ai réservé des tickets pour deux de mes collègues et moi pour le « Nanta Theater ». J’y suis déjà allé, et je m’étais amusé comme un fou ! Ca promet d’être chouette…
Le problème c’est que c’est la grosse pluie depuis ce matin, et apparemment, aucune amélioration à prévoir pour le reste de la journée.
C’est l’occasion de travailler…
Demain, j’ai réservé des tickets pour deux de mes collègues et moi pour le « Nanta Theater ». J’y suis déjà allé, et je m’étais amusé comme un fou ! Ca promet d’être chouette…
mardi, avril 18, 2006
Bredouille !
Après avoir travaillé (bien obligé…), j’ai décidé d’aller à la chasse aux appareils photo. Je cherche un digne successeur pour mon Canon EOS D60. Pensant que les prix seraient plus intéressants par ici, je file faire mon shopping.
J’essaye deux endroits réputés : « Techno Mart » et « Yongsan Electronics Market ».
Malheureusement, je n’ai vu qu’une seule fois en stock le modèle exact que je cherchais, un Canon EOS 1D Mark II N. Le prix n’était absolument pas compétitif par rapport aux USA : environ 10% de plus, auquel il faut encore ajouter 5% quand on paye par carte de crédit. Bien entendu, c’est quand même considérablement moins chez que chez nous en Belgique (environ 25%), mais ça je n’ai pas vraiment besoin de le préciser : tout le monde le sait… Je serai à San Francisco dans deux semaines, alors pas d’urgence.
Techno Mart a par contre de très jolies « Promotional Girls » qui vous saluent quand vous entrez. Sympa.
La mort dans l’âme je suis rentré à l’hôtel, non sans me perdre dans le métro. Pour fêter mon cuisant échec, j’ai pris mon dîner chez « Marco Polo », au 52e étage de la Trade Tower. J’ai pu admirer Séoul de haut, tout illuminé, en dégustant un excellent repas (Chinois, cette fois). C’était délicieux, service impeccable, vue extraordinaire. J’y retournerai !
J’essaye deux endroits réputés : « Techno Mart » et « Yongsan Electronics Market ».
Malheureusement, je n’ai vu qu’une seule fois en stock le modèle exact que je cherchais, un Canon EOS 1D Mark II N. Le prix n’était absolument pas compétitif par rapport aux USA : environ 10% de plus, auquel il faut encore ajouter 5% quand on paye par carte de crédit. Bien entendu, c’est quand même considérablement moins chez que chez nous en Belgique (environ 25%), mais ça je n’ai pas vraiment besoin de le préciser : tout le monde le sait… Je serai à San Francisco dans deux semaines, alors pas d’urgence.
Techno Mart a par contre de très jolies « Promotional Girls » qui vous saluent quand vous entrez. Sympa.
La mort dans l’âme je suis rentré à l’hôtel, non sans me perdre dans le métro. Pour fêter mon cuisant échec, j’ai pris mon dîner chez « Marco Polo », au 52e étage de la Trade Tower. J’ai pu admirer Séoul de haut, tout illuminé, en dégustant un excellent repas (Chinois, cette fois). C’était délicieux, service impeccable, vue extraordinaire. J’y retournerai !
lundi, avril 17, 2006
Un bien étrange rituel.
Je suis sans la navette qui relie l’aéroport d’Incheon (ICN) à la ville de Séoul, et la dame à côté de moi se livre à un bien étrange rituel. Non sans avoir passé une demi heure au téléphone pour raconter on-ne-sait-quoi, voilà qu’elle sort son appareil photo Sony et qu’elle se photographie. A l’aise. Dans le bus.
Un petit peu de maquillage par ci, et on recommence. Ah, un petit collier par là, et on recommence. Pas celui-là, un autre, et on essaye de nouveau. Avec à chaque fois les petits bruitages de son appareil numérique. Après m’avoir bien scié les pieds pendant ce qui me sembla être une éternité, elle repris de plus belle, mais avec son portable.
Soit, je suis arrivé et installé à l’Intercontinental COEX, j’ai réussi à retirer du cash (des « Won »), loué un téléphone portable car ce n’est pas le même standard que chez nous. Me voilà donc avec un beau modèle de la marque « Cyon » qui fait plein de bruits bizarres, et utilise la « mobilophonie de troisième génération » dont on parle beaucoup chez nous, mais que tout le monde utilise ici depuis déjà quelque temps.
Un petit peu de maquillage par ci, et on recommence. Ah, un petit collier par là, et on recommence. Pas celui-là, un autre, et on essaye de nouveau. Avec à chaque fois les petits bruitages de son appareil numérique. Après m’avoir bien scié les pieds pendant ce qui me sembla être une éternité, elle repris de plus belle, mais avec son portable.
Soit, je suis arrivé et installé à l’Intercontinental COEX, j’ai réussi à retirer du cash (des « Won »), loué un téléphone portable car ce n’est pas le même standard que chez nous. Me voilà donc avec un beau modèle de la marque « Cyon » qui fait plein de bruits bizarres, et utilise la « mobilophonie de troisième génération » dont on parle beaucoup chez nous, mais que tout le monde utilise ici depuis déjà quelque temps.
Zou.
Je suis dans l’avion, et de stress, il n’y en a pas eu. Je n’ai pas de voisin, et j’ai même un siège libre qui accepte sans broncher ma paire de pieds déchaussés. Faut dire qu’il n’a pas vraiment le choix. De plus, c’est un Airbus A340-600 flambant neuf, de quoi me faire vraiment plaisir. Ca change bien de Boeing et ses avions qui ont l’air vieux, même neufs.
Avant le repas, une des hôtesse m’accoste par mon nom, me demande si je suis bien « Monsieur Tychon », et que comme je suis VIP machin truc, que si j’ai besoin de quoi que ce soit, elle sera à ma disposition. C’est gentil. Je la trouve soit un peu faux cul, soit carrément offerte. De toute façon, elle n’est pas mon style et j’opte pour la première possibilité. Ces gentillesses sont l’apanage des voyageurs fréquents qui, à la longue, bénéficient d’un statut spécial auprès des compagnies aériennes. Chapeau.
On me propose les deux menus du jour en primeur, afin d’être sur et certain qu’on puisse me servir celui que je désire, des fois qu’on tomberait à court. Et le choix aujourd’hui c’est entre du « bibimbap » et du « Tak Gogi ». Bon, c’est sûr, ces deux plats Coréens vont certainement vous paraître inconnus, et pour cause : on mange très mal en Corée. D’ailleurs, avez-vous déjà vu un restaurant Coréen chez nous ? Non? Moi non plus.
C’est comme des restaurants Hollandais : ça n’a aucune raison d’exister. Pour résumer, disons simplement que le premier plat est composé d’une sorte de hachis de bœuf assez repoussant avec quelques insipides légumes, le second étant à base de poulet frît, et dans les deux cas accompagné de riz. J’opte pour le bibimbap, parce que c’est le plus courrant et que je trouve le nom rigolo. Chouette, les baguettes ont remplacé les couverts traditionnels. C’est sûr, l’Asie approche.
Avant le repas, une des hôtesse m’accoste par mon nom, me demande si je suis bien « Monsieur Tychon », et que comme je suis VIP machin truc, que si j’ai besoin de quoi que ce soit, elle sera à ma disposition. C’est gentil. Je la trouve soit un peu faux cul, soit carrément offerte. De toute façon, elle n’est pas mon style et j’opte pour la première possibilité. Ces gentillesses sont l’apanage des voyageurs fréquents qui, à la longue, bénéficient d’un statut spécial auprès des compagnies aériennes. Chapeau.
On me propose les deux menus du jour en primeur, afin d’être sur et certain qu’on puisse me servir celui que je désire, des fois qu’on tomberait à court. Et le choix aujourd’hui c’est entre du « bibimbap » et du « Tak Gogi ». Bon, c’est sûr, ces deux plats Coréens vont certainement vous paraître inconnus, et pour cause : on mange très mal en Corée. D’ailleurs, avez-vous déjà vu un restaurant Coréen chez nous ? Non? Moi non plus.
C’est comme des restaurants Hollandais : ça n’a aucune raison d’exister. Pour résumer, disons simplement que le premier plat est composé d’une sorte de hachis de bœuf assez repoussant avec quelques insipides légumes, le second étant à base de poulet frît, et dans les deux cas accompagné de riz. J’opte pour le bibimbap, parce que c’est le plus courrant et que je trouve le nom rigolo. Chouette, les baguettes ont remplacé les couverts traditionnels. C’est sûr, l’Asie approche.
LH 712 (FRA-ICN)
Nous sommes Dimanche, et, dans quelques dizaines de minutes, j’embarque pour une semaine à Séoul, en Corée du Sud. À peine arrivé à l’aéroport de Frankfort, on sent déjà l’ambiance : de bruyants attroupements d’asiatiques ont envahi le traditionnellement trop calme aéroport Allemand. Ils sont nombreux, toujours en bande, toujours à bavarder fort, et toujours en train de manger quelque chose. Je ne peux m’empêcher de me demander comment ils arrivent à rester aussi minces en mangeant sans cesse. Sûrement une curiosité de la nature.
Quoi qu’il en soit, c’est toujours avec plaisir que je retrouve les aéroports et leur monde à part. Cet incessant balai de véhicules étranges qui peuple le tarmac, sorte d’armée sans tête menant un combat sans but. Ils vont et ils viennent, dans une apparente désorganisation, gouvernés par on ne sait qui, on ne sait quoi.
Dans les quelques minutes qui précèdent l’embarquement, il y a toujours les moments d’angoisse : serons-nous nombreux ? Il y aura-t-il du retard ? Comment sera mon voisin ? Un businessman comme moi ? Un touriste asiatique ? Quels seront les films projetés, si toutefois le système multimédia n’est pas en panne ? Qu’est ce qu’on va encore nous servir à manger ?
Je vois une jolie Coréenne passer. Statistiquement, peut être qu’elle sera à côté de moi ? Mais je sais que probablement pas : je n’ai jamais de chance avec mes voisins. Je scrute attentivement : pas de bébés à l’horizon, c’est déjà bon signe. Les bébés qui pleurent dans l’avion, ça me saoule assez vite (genre une fraction de seconde).
Ah… On embarque…
Quoi qu’il en soit, c’est toujours avec plaisir que je retrouve les aéroports et leur monde à part. Cet incessant balai de véhicules étranges qui peuple le tarmac, sorte d’armée sans tête menant un combat sans but. Ils vont et ils viennent, dans une apparente désorganisation, gouvernés par on ne sait qui, on ne sait quoi.
Dans les quelques minutes qui précèdent l’embarquement, il y a toujours les moments d’angoisse : serons-nous nombreux ? Il y aura-t-il du retard ? Comment sera mon voisin ? Un businessman comme moi ? Un touriste asiatique ? Quels seront les films projetés, si toutefois le système multimédia n’est pas en panne ? Qu’est ce qu’on va encore nous servir à manger ?
Je vois une jolie Coréenne passer. Statistiquement, peut être qu’elle sera à côté de moi ? Mais je sais que probablement pas : je n’ai jamais de chance avec mes voisins. Je scrute attentivement : pas de bébés à l’horizon, c’est déjà bon signe. Les bébés qui pleurent dans l’avion, ça me saoule assez vite (genre une fraction de seconde).
Ah… On embarque…
jeudi, avril 13, 2006
Easter Eggs !
C’est presque pâques et je leur avais promis : les enfants et moi avons fait des œufs de toutes les couleurs aujourd’hui. Ce fût plutôt amusant, même je suis assez déçu du résultat. En effet les producteurs ajoutant maintenant des inscriptions de date sur leur œufs, ça casse un peu l’effet. La fameuse « tracabilité ».
En tous cas, la fois prochaine, des œufs de ferme blanc feront certainement mieux l’affaire !
Voici une photo des deux potes avec leurs œufs…
En tous cas, la fois prochaine, des œufs de ferme blanc feront certainement mieux l’affaire !
Voici une photo des deux potes avec leurs œufs…
mercredi, avril 12, 2006
Retour d'Afrique
Difficile retour aux choses après ces deux semaines idylliques en Afrique. La Belgique et ses températures polaires, couplé à un soleil pour le moins timide. C’est l’occasion de récupérer tout le retard qui s’est accumulé pendant mes vacances.
C’est aussi ma semaine de garde des enfants, ils sont très gentils comme à leur habitude. Rien à redire. En bonus, une photo des deux gaillards prise aujourd’hui: Cyril et Justin.
C’est aussi ma semaine de garde des enfants, ils sont très gentils comme à leur habitude. Rien à redire. En bonus, une photo des deux gaillards prise aujourd’hui: Cyril et Justin.
mercredi, avril 05, 2006
Sabi Sand – Seconde Journée.
Hier soir, nous n’avons pas vu grand chose. Quelques Lions – ce qui n’est pas mal – mais rien de plus. Ah si, un caméléon. Le soir, l’ambiance dans le groupe n’y était pas vraiment malgré un excellent repas autour d’un feu de bois: avions-nous fait le bon choix avec cette loge? Les rangers sont-ils compétents? Et chacun y allait de sa propre petite histoire et de son expérience. Nous sommes tous allés dormir en nous souhaitant un meilleur jour demain.
Et nous avons eu raison : durant le safari du matin (debout à 5h30 et départ à 6h00) nous avons tout eu en trois heures : lions, rhinos, hippopotame, éléphant, girafe, gnus, impalas,… et en invité d’honneur un léopard. Nous sommes aussi resté bien embourbés dans le lit d’un petit ruisseau, ce qui fût assez fun. Il semble que je ne sois pas porteur de chance pour les périples « tous terrains » (voir les deux histoires à ce sujet sur ce blog).
Il est presque 11h00 et je suis au bord de la piscine. Il fait chaud. Dans deux heures, nous prendrons le déjeuner, puis une sieste suivie d’un thé, et nous repartions à dès 16h00 pour le safari de l’après midi. La belle vie, quoi.
Regonflés à bloc, nous avons en outre perdu un groupe fort pénible de Hollandais qui, par chance, retournait justement aujourd’hui. Une des filles avait peur des animaux, « même des grenouilles ! » disait-elle fièrement. Dans ces conditions, quelle juteuse idée que de se rendre à un safari !
Alors, ca c'est nous quand on est coincés dans la rivière:
Voilà notre "special guest" le léopard (tiens, y'a un gecko qui monte sur ma chaise au moment ou j'écris):
C'est la loge ou on réside, dans le parc. La notre, c'est celle qui est tout près du petit étang ou vivent quelques hippos et un crocodile:
Et ça, c'est la lionne de ce matin:
Et nous avons eu raison : durant le safari du matin (debout à 5h30 et départ à 6h00) nous avons tout eu en trois heures : lions, rhinos, hippopotame, éléphant, girafe, gnus, impalas,… et en invité d’honneur un léopard. Nous sommes aussi resté bien embourbés dans le lit d’un petit ruisseau, ce qui fût assez fun. Il semble que je ne sois pas porteur de chance pour les périples « tous terrains » (voir les deux histoires à ce sujet sur ce blog).
Il est presque 11h00 et je suis au bord de la piscine. Il fait chaud. Dans deux heures, nous prendrons le déjeuner, puis une sieste suivie d’un thé, et nous repartions à dès 16h00 pour le safari de l’après midi. La belle vie, quoi.
Regonflés à bloc, nous avons en outre perdu un groupe fort pénible de Hollandais qui, par chance, retournait justement aujourd’hui. Une des filles avait peur des animaux, « même des grenouilles ! » disait-elle fièrement. Dans ces conditions, quelle juteuse idée que de se rendre à un safari !
Alors, ca c'est nous quand on est coincés dans la rivière:
Voilà notre "special guest" le léopard (tiens, y'a un gecko qui monte sur ma chaise au moment ou j'écris):
C'est la loge ou on réside, dans le parc. La notre, c'est celle qui est tout près du petit étang ou vivent quelques hippos et un crocodile:
Et ça, c'est la lionne de ce matin:
Sabi Sand – On arrive !
Bien que Laurence et moi nous soyons en Afrique du Sud depuis quelques jours, voici le premier billet sur ce sujet dans mon blog. C’est que nous avons été bien occupés par des histoires mouvementés : j’ai été attaqué par un singe et Laurence m’a sauvé, tous deux mordus par un lionceau, mais aussi perdus et ballottés dans des bleds sans noms ou pas un blanc n’a mis les pieds depuis longtemps, et j’en passe.
Questions animaux, on a déjà presque tout croisé dans le parc du Pilanesberg à savoir les « big 5 » : lion, hypo, rhino, girafe et éléphant. Ce dernier nous ayant bloqué la route pendant près d’une demi-heure, le temps qu’il termine son déjeuner, constitué de quelques arbres bien fournis.
Après une dizaine de jours sur place entre Sun City et Johannesburg, nous sommes enfin arrivés au clou du spectacle: quelques jours dans la réserve du « Sabi Sand ». C’est une réserve privée qui fait partie du parc Kruger, où nous avons une loge dans laquelle nous allons rester trois jours.
Après huit heures de route de Johannesburg dans une petite Hyundai Getz (tout ce qui restait à l’agence, mis à part une Ford Ka…), nous sommes fourbus, fatigués, usés, on a mal au dos, mais l’endroit nous communique sa magie et son énergie. Le temps de prendre un lunch, de s’installer et se rafraîchir et l’on est parti.
Questions animaux, on a déjà presque tout croisé dans le parc du Pilanesberg à savoir les « big 5 » : lion, hypo, rhino, girafe et éléphant. Ce dernier nous ayant bloqué la route pendant près d’une demi-heure, le temps qu’il termine son déjeuner, constitué de quelques arbres bien fournis.
Après une dizaine de jours sur place entre Sun City et Johannesburg, nous sommes enfin arrivés au clou du spectacle: quelques jours dans la réserve du « Sabi Sand ». C’est une réserve privée qui fait partie du parc Kruger, où nous avons une loge dans laquelle nous allons rester trois jours.
Après huit heures de route de Johannesburg dans une petite Hyundai Getz (tout ce qui restait à l’agence, mis à part une Ford Ka…), nous sommes fourbus, fatigués, usés, on a mal au dos, mais l’endroit nous communique sa magie et son énergie. Le temps de prendre un lunch, de s’installer et se rafraîchir et l’on est parti.
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