Je suis carrément impatient d’aller la chercher, normalement Samedi!
Voici quelques photos de la bête, en attendant :
lundi, novembre 27, 2006
C’est fait !
Ma moto est commandée et payée : une Yamaha FZ6s grise et noire, connue sous le petit nom de Fazer 600. Avec ses 98 chevaux pour 175 Kg, elle passe de 0 à 100 Km/h en 3.5 secondes, assez pour que le débutant que je suis puisse s’amuser prudemment pendant des années.
Je suis carrément impatient d’aller la chercher, normalement Samedi!
Voici quelques photos de la bête, en attendant :
Je suis carrément impatient d’aller la chercher, normalement Samedi!
Voici quelques photos de la bête, en attendant :
L’after gros week-end !
Finalement, nous avons dû zapper l’opéra/théâtre avec les enfants à cause d’un problème de minutage. Ce n’est que partie remise.
Après notre petite visite à Anne et Sébastien et à leur trois enfants, nous sommes allé chercher la moto de Barbara. C’est elle qui me précédait en voiture avec le GPS, et moi qui suivais sur une moto que je découvrais, dans le noir, le vent, le froid, la pluie, les feuilles mortes, et sur une route inconnue. Quoi qu’il en soit, je me suis amusé comme un fou ! Cette moto ne demande qu’à s’amuser, mais moi je ne suis pas encore prêt !
Les 80 kilomètres qui nous séparent de la maison, par les petites routes, ont été du pur bonheur malgré les conditions « apocalyptique » pour un débutant comme moi.
Dimanche, nous sommes allé choisir le matériel de ski comme prévu, et puis patinoire l’après midi. Cyril et Justin ont pas mal pleuré, sont pas mal tombés, tandis qu’Amélie se débrouille comme une reine. On ne va même pas parler de Barbara, championne du monde ! Quant à moi, je me débrouille maladroitement, mais j’avance calmement sans tomber.
Et pour terminer, quelques photos réalisées par Barbara !
La bandes des trois avec, de gauche à droite, Cyril, Louis et Justin.
Camille :
Anne est férue de montages floraux :
Après notre petite visite à Anne et Sébastien et à leur trois enfants, nous sommes allé chercher la moto de Barbara. C’est elle qui me précédait en voiture avec le GPS, et moi qui suivais sur une moto que je découvrais, dans le noir, le vent, le froid, la pluie, les feuilles mortes, et sur une route inconnue. Quoi qu’il en soit, je me suis amusé comme un fou ! Cette moto ne demande qu’à s’amuser, mais moi je ne suis pas encore prêt !
Les 80 kilomètres qui nous séparent de la maison, par les petites routes, ont été du pur bonheur malgré les conditions « apocalyptique » pour un débutant comme moi.
Dimanche, nous sommes allé choisir le matériel de ski comme prévu, et puis patinoire l’après midi. Cyril et Justin ont pas mal pleuré, sont pas mal tombés, tandis qu’Amélie se débrouille comme une reine. On ne va même pas parler de Barbara, championne du monde ! Quant à moi, je me débrouille maladroitement, mais j’avance calmement sans tomber.
Et pour terminer, quelques photos réalisées par Barbara !
La bandes des trois avec, de gauche à droite, Cyril, Louis et Justin.
Camille :
Anne est férue de montages floraux :
vendredi, novembre 24, 2006
Gros week end en vue!
Pour Samedi:
- Matin : Aller dire bonjour à Anne, une amie de Barbara à Arlon. Fameuse trotte en perspective !
- Après-midi : Chercher la moto de Barbara à Gouvy. J’en reparlerai plus tard !
- Soir : Théatre à Liège avec les enfants : « La Belle et la Bête »
- Matin : essayage du matériel de ski, en prévision des sports d’hiver.
- Après-midi : Patinoire de Liège avec les enfants. Ca fait des semaines qu’on leur promet !
- Soir : repos du guerrier!
lundi, novembre 20, 2006
Le "Olé Olé"
Avec quelques amis, nous nous sommes rendu au « ole ole » un Samedi soir, pensant ainsi nous rendre dans un « bar à tapas ».
Au premier contact, nous avons été accueilli de manière fort peu professionnelle par un monsieur qui avait un très fort accent Liégeois. Ce n’est pas tout à fait à cela que je m’attendais. Il nous promet une table pour cinq dans quelques minutes, et nous propose de prendre l’apéro en attendant.
Après quinze minutes, où entre temps nous avons appris que notre table a été donnée à d’autres clients qui attendaient déjà, et sans avoir pris la commande pour l’apéro, nous avons finalement une table installée juste en face des toilettes. Genre la porte à cinquante centimètres de mon dos.
Finalement, les tapas ne sont pas du tout des tapas, mais plutôt des assiettes. Trop cher, trop gros pour des tapas, et aucun choix. Nous décidons de prendre une ou l’autre assiette comme entrée, puis un plat après. Après très longtemps, on prend la commande. Sur les 6 plats disponible, il en manque deux que nous voulions justement prendre. Peut-être eut-il été judicieux de le dire au moment où on apporte la carte ?
L’entrée arrive, normale. Pas de quoi se réjouir ou faire des bons. Pour le prix, c’est assez mal servi. Après une heure, toujours pas de plat. Il y a eu « un petit problème avec le poisson », mais ça arrive. Le repas lui aussi était un peu juste. Un peu de poisson qui ressemblait à des fish-sticks, et quelques misérables accompagnements. Mon « chili con carné » ressemblait à une sauce provençale avec des black beans. Encore déçus.
Le repas terminé, les clients arrivent en masse pour regarder le foot, fumer une petite cigarette, et boire une bière. On nous demande pour baisser l’écran, juste au-dessus de notre tête, pour projeter le match de foot. On croît rêver !
Il s’agit donc avant tout d’un bar, d’un café, qui fait croire qu’il vend des tapas, avec un service et une qualité complètement inadaptés. La Paëlla, par contre, a l’air très bonne mais est sur réservation uniquement.
Au premier contact, nous avons été accueilli de manière fort peu professionnelle par un monsieur qui avait un très fort accent Liégeois. Ce n’est pas tout à fait à cela que je m’attendais. Il nous promet une table pour cinq dans quelques minutes, et nous propose de prendre l’apéro en attendant.
Après quinze minutes, où entre temps nous avons appris que notre table a été donnée à d’autres clients qui attendaient déjà, et sans avoir pris la commande pour l’apéro, nous avons finalement une table installée juste en face des toilettes. Genre la porte à cinquante centimètres de mon dos.
Finalement, les tapas ne sont pas du tout des tapas, mais plutôt des assiettes. Trop cher, trop gros pour des tapas, et aucun choix. Nous décidons de prendre une ou l’autre assiette comme entrée, puis un plat après. Après très longtemps, on prend la commande. Sur les 6 plats disponible, il en manque deux que nous voulions justement prendre. Peut-être eut-il été judicieux de le dire au moment où on apporte la carte ?
L’entrée arrive, normale. Pas de quoi se réjouir ou faire des bons. Pour le prix, c’est assez mal servi. Après une heure, toujours pas de plat. Il y a eu « un petit problème avec le poisson », mais ça arrive. Le repas lui aussi était un peu juste. Un peu de poisson qui ressemblait à des fish-sticks, et quelques misérables accompagnements. Mon « chili con carné » ressemblait à une sauce provençale avec des black beans. Encore déçus.
Le repas terminé, les clients arrivent en masse pour regarder le foot, fumer une petite cigarette, et boire une bière. On nous demande pour baisser l’écran, juste au-dessus de notre tête, pour projeter le match de foot. On croît rêver !
Il s’agit donc avant tout d’un bar, d’un café, qui fait croire qu’il vend des tapas, avec un service et une qualité complètement inadaptés. La Paëlla, par contre, a l’air très bonne mais est sur réservation uniquement.
Orchidea 2006
Visite ce week end, Barbara et moi, de l'exposition "Orchidea 2006" au stade du Heysel. J'aurais espéré une présentation et cadre plus contemporain, moins chargé en mousses, bois et autres décorations, mais ça ne nous a pas empêché de faire quelques jolies photos et de passer un bon moment!
mardi, novembre 14, 2006
Argentine, le retour !
Je suis de re-passage éclair (trois jours) dans la capitale Buenos Aires. Au programme, rien que tu travail, et du bien chargé, donc pas de temps pour les visites.
C’est tant pis, mais il me reste au moins des choses très sympas : le climat clément et ensoleillé, ou l’on passe allègrement la barre des 30 degrés, ce qui n’est pas mal pour un mois de Novembre, la nourriture et en particulier la viande, et les Argentins. Peuple sympathique et accueillant, il sont véritablement l’or de ce pays. C’est vrai qu’ils parlent fort, mais les Français aussi. C’est juste une question d’habitude.
Gros point noir dans le tableau, c’est Barbara qui n’a pu venir pour des raisons hors de notre contrôle. Je suis tellement déçu que j’ai réduit mon séjour au strict minimum.
Allez, vous dormez déjà depuis longtemps, c’est à mon tour !
C’est tant pis, mais il me reste au moins des choses très sympas : le climat clément et ensoleillé, ou l’on passe allègrement la barre des 30 degrés, ce qui n’est pas mal pour un mois de Novembre, la nourriture et en particulier la viande, et les Argentins. Peuple sympathique et accueillant, il sont véritablement l’or de ce pays. C’est vrai qu’ils parlent fort, mais les Français aussi. C’est juste une question d’habitude.
Gros point noir dans le tableau, c’est Barbara qui n’a pu venir pour des raisons hors de notre contrôle. Je suis tellement déçu que j’ai réduit mon séjour au strict minimum.
Allez, vous dormez déjà depuis longtemps, c’est à mon tour !
lundi, novembre 06, 2006
Les Hautes Fagnes
Petites photos de l'ambiance de notre ballade dominicale... dans le brouillard des hautes fagnes, aux alentours du Signal de Botrange.
Première leçon en images.
Images de la première leçon moto de Barbara, vendredi dernier, alors que moi la première est aujourd’hui. Elle roulait sur une petite « VanVan » pour faire ses premiers tours de roue, et passera ensuite sur une grosse cylindrée.
vendredi, novembre 03, 2006
Les rendez-vous sont pris.
Nous avons tout trouvé : bottes, casque et gants, l’idéal pour commencer. J’ai craqué pour une tenue moto noire et grise de chez Gericke. Nos rendez-vous à la moto-école sont pris, elle chez Technoconduite et moi chez New Look. Barbara suit sa première leçon aujourd’hui, tandis que moi, ce ne sera que lundi.
Grâce à mes amis Yves et Cécile, nous avons pu profiter d’une petite démonstration sur route à bord d’une Kawasaki Ninja. C’est gai, ça pousse fort, bref ça nous rend complètement impatients !
Espérons juste, licence en poche, que nous arriverons quand même à nous entraîner un peu cet hiver, histoire de passer notre permis début de l’été prochain.
Grâce à mes amis Yves et Cécile, nous avons pu profiter d’une petite démonstration sur route à bord d’une Kawasaki Ninja. C’est gai, ça pousse fort, bref ça nous rend complètement impatients !
Espérons juste, licence en poche, que nous arriverons quand même à nous entraîner un peu cet hiver, histoire de passer notre permis début de l’été prochain.
Inscription à :
Articles (Atom)