Souvent, on me dit que j’ai « de la chance » de voyager. Voyons donc mon emploi du temps aujourd’hui.
6h30-7h45 : Lire mes email, me doucher, m’apprêter.
8h00-9h00 : Meeting avec un client
10h30-12h30 : « Lab Session » avec une trentaine de clients
12h45-13h45 : Lunch avec mon nouveau directeur
14h00-16h00 : Présentation devant environ deux cent clients.
16h30-19h00 : Visite avec des partenaires, principalement des product managers et directeurs du marketing.
19h30-23h00 : Diner avec des collègues à qui je dois une bonne bouffe pour m’avoir aidé (chez Ruth’s Chris). On socialise un peu, on fait des sourires. On discute du business, de la technique, mais surtout de la politique américaine.
23h00 : essayer d’échapper au dernier verre dans le bar de l’hotel.
23h01 : Dans les bras de morphée.
En gros, j’ai eu zéro minute de temps libre. Et demain ça recommence, pareil.
Hier, aujourd'hui, demain. Ici et ailleurs. Des fragments de vie, du monde, de mon monde.
mercredi, juillet 25, 2007
mardi, juillet 24, 2007
lundi, juillet 23, 2007
Los Angeles : Jour 1.
Après un voyage parfait en business class, ou grâce à cela je me suis bien reposé, me voilà installé dans le Hilton Anaheim, à deux pas du centre de conférence ou se tient la raison de ma visite.
Si les hôtels « Hilton » en Europe sont plutôt bien, on peut dire qu’ici au states, ça doit être la même classe qu’un « Campanile ». Celui-ci est particulièrement pourri, avec un accès à Internet franchement déficient, le bâtiment est hideux, les chambres sont décorées euh .. En fait elles ne sont pas décorées du tout, couvre lit avec des grosses fleurs pastel, fauteuils en rotin avec des coussins roses,... C’est ahurissant ! Je me console en me disant que je ne suis pas venu ici pour rester dans ma chambre.
Hier, diner avec mon collègue Chris au Ruth’s Chris grill. A mon avis, c’est sûrement la meilleure chaîne de grills que je connaisse. Les prix ne sont pas très démocratiques : pour juste un morceau de viande et une bière, nous avons payé US$ 123. Mais une fois de temps en temps, pourquoi pas.
Petite anecdote : le serveur nous a mis en garde à propos de la température des assiettes (en fait, le steak est cuit avec une technique spéciale dans un four à 260 degrés). C’était tellement chaud qu’au premier coup de couteau, le plat s’en fendu en deux répandant la bonne sauce grasse au beurre sur l’ensemble de la table…
mercredi, juillet 18, 2007
jeudi, juillet 12, 2007
jeudi, juillet 05, 2007
Belgique, Belgique...
Ce matin, j'avais envie de faire une photo. Quelque chose de représentatif. Le bruit incessant de la pluie frappe les vitres de la maison, et rien que de l'entendre, cela me fait frissonner. Je vais me refaire un autre café. Ma tête est vide, mes pensées sont grises.
Difficile de croire que nous sommes en Juillet...
Difficile de croire que nous sommes en Juillet...
Parlons de poubelles
De nos jours, l’accent est indiscutablement mis sur le recyclage, la conservation de notre patrimoine naturel, etc… C’est en effet un effort de tous, et un effort constant.
Pour ceux qui ne sont pas familiers avec les sacs bleus « P.M.C », il s’agit de sac spéciaux qui permettre de jeter toutes sortes de matériaux recyclables. Ils sont bien moins chers que des sachets normaux, c’est donc un bel incitant au recyclage. Une idée louable à n’en pas douter, pour les Plastiques, les Métaux et les Cartons alimentaires (d’où le nom « PMC »).
Cependant, ne vous est-il pas déjà arrivé de voir votre sachet refusé ? Il reste devant chez vous, avec un gros autocollant rouge « STOP » toute la journée, histoire de communiquer à tout votre voisinage que vous n’avez pas trié vos déchets.
Chez Intradel, les pots de yoghourt par exemple, sont bien en plastique, et de plus sont recyclables, mais ne sont pas admis. Idem pour l’Actimel, les raviers de beurre, etc... J’ai juste pris l’habitude de placer tout cela dans les ordures conventionnelles, sans trop m’interroger.
Une lectrice de test-achats, par contre, a téléphoné à Danone pour éclaircir la situation. Ils confirment que tous les produits sont fabriqués dans des matières recyclables, comme l’indique le logo sur la bouteille, et qu’ils sont parfaitement et totalement recyclables. Elle interpelle alors Intradel, qui lui dit que « les flacons sont peut-être recyclables, mais pas chez eux ». C’est tout bonnement édifiant.
Comme le fait remarquer à juste titre test-achats : « Il y a là, reconnaissons-le, de quoi décourager la bonne volonté du consommateur le mieux intentionné ! Il faut qu’organismes de certification et entreprises de recyclage de mettent d’accord sur des normes acceptées par tous. »
Alors, Monsieur Mauro Lenzini, avant qu’un scandale ne frappe l’excellente gestion PS de l’intercommunale Intradel, essayez peut-être de faire quelque chose de bien?
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