Cette semaine, je suis à Las Vegas. Pas mal de travail en journée, pas trop de temps pour peaufiner mon blog mais je tenais quand même à écrire un petit quelque chose.
Il fait trop chaud ici: on passe les 43 degrés à l’ombre facilement. Ca rend tout déplacement à l’extérieur particulièrement pénible, ce qui fait bien l’affaire des nombreux taxis.
Mon avis, c’est quand même que Las Vegas, c’est assez chiant. La centaine de milliers d’autre touristes qui sont ici ne partage pas forcément ma vision des choses, mais probablement que je ne partage pas leur goût pour le kitsch non plus.
Par contre, les spectacles qui on lieu dans les hôtels sont absolument fantastique et il serait hérétique – voir criminel - de ne pas y aller. Il ne faudra pas se laisser trop impressionner par des places qui volent facilement au-dessus d’une centaine d’euros. Las Vegas, c’est fait pour dépenser son argent, alors profitons-en!
L’année dernière j’avais déjà eu l’occasion de voir « Le Reve » au Wynn – le plus bel hôtel de Vegas selon moi - qui était absolument grandiose. Cette année je suis allé voir “O” au Bellagio, l’hôtel de « Ocean’s Eleven » - et ce n’était pas décevant non plus! C’est très difficile à qualifier, mais pour faire simple, disons que c’est magique. Tout est brillant, de la salle, aux acteurs, à la musique, la mise en scène, l’éclairage. C’est parfait.
A noter que les deux spectacles ont été mis en scène par Franco Dragone, qui est Belge. Il s’est aussi occupé du spectacle de Céline Dion a lieu ici tous les soirs (la pauvre). Je n’irai pas le voir mais il est – dis-t-on – très étonnant !
Ce soir, je vais en voir un autre… je vais me ruiner avec tout cela, mais je suppose que c’est le but ? Gagner de l’argent, dépenser de l’argent, gagner de l’argent, dépenser de l’argent,… etc.
mercredi, juin 21, 2006
mercredi, juin 07, 2006
Caracas, de mieux en mieux.
Fort heureusement que j’au pu compter sur une connaissance locale, Helena, pour me guider dans Caracas et échapper au centre ville. Elle aura été d’une aide incroyable, et bonne nouvelle, sera de passage dans notre beau royaume de Belgique en Décembre. Je compte bien lui rendre la pareille ! Ca sent déjà le marché de Noël tout ça !
Nous avons décidé de faire une petite ballade dans les collines qui surplombent la ville… c’était sans compter sur la pluie torrentielle et tropicale qui s’abattit sur nous. En bon belge, j’ai toujours une veste imperméable et un parapluie dans mon sac, qui sont venus bien à point. Moins d’une heure après, trempés jusqu’aux os, nous prenions le soleil sur un banc. C’est fou comme le temps change vite ici.
Le soir, avec mes collègues, petite visite au « Avila Mágica Park » en téléphérique, vue incroyable sur la ville. Nous étions les rois du monde, au-dessus des nuages, les avions volant plus bas que nous ! Vision fantastique et carrément inhabituelle.
Ensuite, nous prenons la direction d’un restaurant dans la montagne par une descente extrêmement mouvementée en 4x4. Bien que le conducteur fût très calme, j’ai eu peur plusieurs fois que nous ne versions dans le vide. La pluie ayant rendu boueux les chemins, les voitures et leur huit occupants avaient tendance à glisser de manière préoccupante.
Le restaurant fut un peu bonheur, une ambiance intimiste, un saxophoniste, du personnel avenant et une cuisine simple mais très bien réalisée. J’ai commencé par un carpaccio de thon rouge particulièrement savoureux, suivi de saumon grillé à la perfection, et enfin d’excellents « brownies » faits maison et servis avec de la glace.
Ce qui m’a permis de faire la connaissance de Tess, la femme d’un collègue, qui vivent tous les deux à San Jose, Californie et qui sont des férus de photographie. Ils organisent des groupes de travail, et m’ont proposé, lors d’une de mes prochaines visite, de rencontrer tout ce beau monde. Elle parlait avec tellement de passion, que j’ai dû lui rappeler à plusieurs reprise de manger car tout allait être froid. Des gens charmants que je me réjouis déjà de revoir! Voici le site de son mari Thomas : http://www.luminaryarts.com (lien correct).
Caracas, d'en haut:
Cuisines du restaurant:
Nous avons décidé de faire une petite ballade dans les collines qui surplombent la ville… c’était sans compter sur la pluie torrentielle et tropicale qui s’abattit sur nous. En bon belge, j’ai toujours une veste imperméable et un parapluie dans mon sac, qui sont venus bien à point. Moins d’une heure après, trempés jusqu’aux os, nous prenions le soleil sur un banc. C’est fou comme le temps change vite ici.
Le soir, avec mes collègues, petite visite au « Avila Mágica Park » en téléphérique, vue incroyable sur la ville. Nous étions les rois du monde, au-dessus des nuages, les avions volant plus bas que nous ! Vision fantastique et carrément inhabituelle.
Ensuite, nous prenons la direction d’un restaurant dans la montagne par une descente extrêmement mouvementée en 4x4. Bien que le conducteur fût très calme, j’ai eu peur plusieurs fois que nous ne versions dans le vide. La pluie ayant rendu boueux les chemins, les voitures et leur huit occupants avaient tendance à glisser de manière préoccupante.
Le restaurant fut un peu bonheur, une ambiance intimiste, un saxophoniste, du personnel avenant et une cuisine simple mais très bien réalisée. J’ai commencé par un carpaccio de thon rouge particulièrement savoureux, suivi de saumon grillé à la perfection, et enfin d’excellents « brownies » faits maison et servis avec de la glace.
Ce qui m’a permis de faire la connaissance de Tess, la femme d’un collègue, qui vivent tous les deux à San Jose, Californie et qui sont des férus de photographie. Ils organisent des groupes de travail, et m’ont proposé, lors d’une de mes prochaines visite, de rencontrer tout ce beau monde. Elle parlait avec tellement de passion, que j’ai dû lui rappeler à plusieurs reprise de manger car tout allait être froid. Des gens charmants que je me réjouis déjà de revoir! Voici le site de son mari Thomas : http://www.luminaryarts.com (lien correct).
Caracas, d'en haut:
Cuisines du restaurant:
mardi, juin 06, 2006
Caracas, premier contact.
Il n’y a pas de compteur dans les taxis, il faut donc négocier le prix. Quand on ne parle pas espagnol et qu’on a une belle tête de touriste comme moi, ça n’aide pas. N’empêche, j’ai quand même pris une photo du taxi, dans le taxi, car surtout à minuit, j’ai envie de tout photographier.
En effet, je pense que la ville est plus belle sans lumière : ça cache toute sa « laideur » de béton, et ça met en avant un petit coté fantasque. Mais le problème, c’est que la nuit, c’est le meilleur pour se faire piquer toutes ses affaires… et que je suis avec mon petit compact, qui n’est pas le champion des photos de nuit.
En effet, je pense que la ville est plus belle sans lumière : ça cache toute sa « laideur » de béton, et ça met en avant un petit coté fantasque. Mais le problème, c’est que la nuit, c’est le meilleur pour se faire piquer toutes ses affaires… et que je suis avec mon petit compact, qui n’est pas le champion des photos de nuit.
lundi, juin 05, 2006
Arrivée à Caracas
Après un vol sans encombre, je suis arrivé à Caracas, Venezuela cet après-midi. Le transfert entre l’aéroport et l’hôtel a été un peu long, car le pont de l’autoroute s’est effondré ce qui, on s’en doute, ne manque pas de générer des files structurelles…
Me voilà installé, fourbu, fatigué. J’ai déjà une réunion demain matin et quelques projets sur lesquels je dois avancer, aussi ne vais-je pas pousser la narration plus avant. Suite de la visite très bientôt, j’espère…
Me voilà installé, fourbu, fatigué. J’ai déjà une réunion demain matin et quelques projets sur lesquels je dois avancer, aussi ne vais-je pas pousser la narration plus avant. Suite de la visite très bientôt, j’espère…
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