Mauvaise journée.

Comment faire une bonne journée de merde ? Testé pour vous:

• Pour une journée de merde, prenez un mardi. J’ai toujours détesté le mardi.
• Ajoutez un temps gris, froid, venteux et moche.
• Saupoudrez quelques rendez-vous sur Bruxelles, et un timing ultra serré du matin jusqu’au soir.
• 7h00 : Faites tomber mon 4x4 en panne juste quand je m’apprête à quitter chez moi. Fuite dans le circuit hydraulique de l’embrayage, probablement du à une fouine qui a mangé les tuyaux.
• 9h00 : Envoyez une première dépanneuse, bien impuissante, puisqu’elle ne peut pas remorquer de 4x4. Il faut en effet un plateau pour cela.
• 12h00 : Envoyer une seconde avec un plateau (pour le 4x4), mais tombe en panne cinq cent mètres plus loin.
• 12h20 : Tandis que je rentre à pied chez moi, versez une bonne pluie copieuse, comme on en connaît pour le moment.
• 13h00 : J’ai finalement ma voiture, je fonce à Bruxelles.
• 17h00 : Entrainement de basket pour les enfants, mais leur équipement de sport n’est pas prêt. Tant pis, on le fait en jeans.
• 20h00 : Je mange des poivrons farcis qui vont me rendre malade toute la nuit.

Retour.

De retour à la maison, grandes retrouvailles avec les enfants, week end surchargé, enfin la semaine « pour pouvoir se reposer un peu »…

Vendredi soir : directement de l’aéroport à une soirée, heureusement que j’avais la possibilité de me doucher dans la loge de l’aéroport de Londres. Retour à quatre heures du mat. Samedi : soirée « gospel » dans les grottes de Folx-les-Caves. Dimanche : marche gourmande en famille « à la découverte des saveurs du terroir ».

Et une illustration du petit Jujustin, qui a inventé un nouveau mot ce week end : le « smorpion »… j’en ris encore !

Arrive Alive: Don't Drink and Drive!

Une Dos Equis, trop bon... Ca concurrence facilement nos bières Belges classiques. (pas les trappistes, bien entendu)

Kings Canyon et le Séquoia Parc

Profitant du week end, et du fait que j’avais avec moi mon nouvel appareil photo (que j’avais envie d’essayer), j’ai filé vers Fresno, qui se prononce « Frez-no », et se situe à un peu plus de 300 Km au sud de San Francisco. Départ dès le vendredi soir, objectif : le parc national « Kings Canyon et le Séquoia Parc ».

Malheureusement, grosse déception sur place : la plupart des chemins de randonnées sont toujours fermés à cause de la neige. En effet, la couche accumulée durant tout l’hiver n’est pas loin des deux mètres, rendant la plupart des routes impraticables.

Qu’à cela ne tienne, je me suis contenté des quelques chemins ouverts, certes bien moins intéressants mais tout de même très satisfaisants.

Clôture de ce week end par un monstrueux « 10 dollar burger » de chez Mels Drive-In. Endroit génial à la fois kitsch et très sympa, mais surtout de meilleur pour savourer un bon burger à San Francisco !

Histoire d’avoir une idée, regardez à quelle hauteur se trouve la neige sur le bord de la route par rapport à la voiture :



Un des nombreux torrents, alimenté par la fonte des neiges, et qui dévalent les falaises escarpées du Kings Canyon :



Tranquillité et quiétude dans le Séquoia Parc :



Et pour terminer, un bon burger chez Mels !

Meet the Police (again)

Allez, encore une fois, je me suis fait arrêter par la police car je roulais trop vite. Pas de chance, j’avais été très prudent pendant une bonne partie du trajet. Mais cette Z350 donne quand même envie de pousser dedans. Il était tard, personne sur la route, je me suis dit que je ferai bien une bonne petite accélération. Et bingo.

Au moins cette fois, je n’avais strictement rien bu. Et tout comme la dernière fois, ils ont été assez perdus avec mon permis de conduire. Je suis reparti sans souci, avec comme consigne « to keep an eye on the speedometer ».

Nouvel appareil photo !

J’ai reçu mon nouvel appareil photo, mais malheureusement je n’ai pas encore vraiment eu le temps de jouer beaucoup avec. Hier soir, après une heure de jogging et un filet de saumon, j’ai voulu lire la notice et me suis endormi illico.

Ce matin, debout à 5h00 du matin pour mes premières téléconférences, et en partant au bureau, une photo – juste pour dire – de ma Z350.

Rassurez-vous : des choses intéressantes sont à espérer dans les jours à venir.

La Grande Amérique

Je viens d’arriver à San Francisco. Il fait beau, genre plein soleil. Il fait bon, genre 26 degrés. Et je conduis un engin de la mort : une Nissan Z350 (voir photo, faite avec mon GSM). C’est un roadster deux places, dans lequel ma grande valise a eu bien du mal à rentrer…

Avec son moteur six cylindres de 3.5 litres développant 300 chevaux pour 1.4 tonne, on accélère de 0 à 100 en six secondes dans un vrombissement sourd. La direction peu assistée, les sièges sport en cuir et la boîte séquentielle s’ajoutent encore au plaisir de conduite.

Malheureusement la vitesse de pointe est limitée électroniquement à 250 km/h. Ca doit être suffisant malgré tout.